- Dix-huitième siège Onishi-san pouvait m’expliquer ceci ? demanda un homme d’une voix lasse, comme s’il revivait la même scène en boucle.
- Et bien ils m’ont demandé de balayé les ordures, je me suis exécuté, il a eut juste eu un quiproquo sur les ordures en question.
Répondit-il d’une voix douce. Tandis que deux hommes se faisaient soigner. L’un deux un grand à la mâchoire carrée dont les cheveux de jais hirsutes sont masqués par des bandages au niveau supérieur du crâne. Le second aussi large d’épaules et plus barbu geindre chaque fois que les médecins lui retiré des échardes. Le sixième siège de la quatrième division enguirlandait entre guillemets. Yuto résuma l’altercation le plus simplement du monde. Au moment où le plus grand somma le médecin de balayer en lui tendant le balai. Onishi le saisit et lui fracassa le bout sur la tête, tandis que le second il lui fit manger le manche. C’était un exploit qui venait ponctuer régulièrement la vie du shinigami, au moins une fois par mois. À force, les réprimandes de ses supérieurs ne le stressaient plus et au bout du compte l’unique chose qu’il pouvait parfois lui reprocher était une défense excessive rapport à l’attaque.
Cette fois ses assaillants ne se trouvaient pas aux portes de la mort, alors on le laissa partir avec un blâme en lui stipulant d’éviter de se promener près des quartiers de la onzième division. Ce qu’il comptait appliquer et qu’il effectue au mieux ce conseil ! Sauf, que les barbares ne se limitent pas à vivre dans leur quartier, malheureusement pour lui et les autres membres du corps médical. Ce passage pénible vécu, le petit argenté était libre de courir de droite à gauche en soignant les âmes blessées ainsi que distribuées les traitements.
Lors d’un voyage dans une chambre avec une infirmière, il distribua des doses d’un anti dote qui bien que se révélant efficace avait comme effet secondaire de l’affaiblir. Dans ces circonstances, il se trouvait toujours partager entre intervenir incognito avec Chisato et sortir de sa misère le pauvre bougre. Or s’il agissait ainsi les résultats du traitement seraient faussés. Cette fois bien que connaissant l’état critique il prit la décision de parier que cela suffirait. Sortant il passa devant l’horloge qui remarqua qu’elle n’avait pas bougé depuis l’heure arrivée. Il interpella l’infirmière.
- Excusez-moi, il n’y a pas un souci avec cette horloge ?
- Quoi vous ne le saviez pas cette horloge ne fonctionne plus depuis ce matin, elle sera bientôt remplacée.
Inquiet il lui demande la véritable heure. Et il entendit qu’il était à cinq minutes de l’heure à laquelle il devait effectuer des contrôles sur des élèves de l’académie. Interrogeant dans l’urgence la demoiselle si elle était capable de continuer seule l’inspection des chambres, à peine qu’elle affirmât oui qu’Onishi partit comme une fusée en direction de l’accueil. Il calcule le temps de trajet et il réalisa qu’il serait au mieux cinq minutes en retard ou un quart d’heure en retard s’il y a beaucoup de trafic en chemin. Bon, il serait droit dans le stéréotype du médecin toujours en retard et ici à la quatrième personne ne s’étonnera de voir un shinigami de la quatrième se dépêcher en courant. Arrivé sur place essoufflé, il se reprit son souffle et demanda en visualisant autour de lui.
- Abarai Renji ?